Cartographie des rayonnements électromagnétiques

Cap Environnement et ANPI vous proposent une solution complète :

Mesure du rayonnement ambiant ;
Réalisation de cartes dynamiques du rayonnement
électromagnétique sous SIG : MITHRA-REM ;
Analyse de l’impact d’implantations en projet ;
Information structurée de l’administration pour un
dialogue constructif entre riverains et exploitants
d’antennes :
- sources des champs électromagnétiques,
- effets biologiques des champs,
- normes et recommandations existantes en Europe,
- mesures et modélisations.
Vérification des données fournies par les opérateurs.


Aspects législatifs et techniques

La limitation de l’exposition des personnes aux champs électriques et magnétiques fait l’objet de nombreuses recommandations, normes, décrets, ordonnances et chartes. Le centre international de recherche contre le cancer, appartenant à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), a classé comme cancérigène possible les champs électromagnétiques de radiofréquences, y compris ceux de téléphones mobiles. Néanmoins les niveaux proposés par l’OMS sont considérés par beaucoup comme trop peu contraignant. On trouve donc en Europe des initiatives locales qui visent un niveau de précaution nettement supérieur en particulier la région Brussel Capitale.

Les solutions de mesures et de modélisations proposées par Cap Environnement et ANPI répondent à l’esprit des articles 183 et 184 (art 17bis) de la loi grenelle II sur la protection de l’environnement.

Les simulations permettent d’intégrer les émetteurs RF (ex. antennes de radiocommunication) dans une carte numérique de la ville portés par un SIG.
Un moteur de calcul intégré permet de modéliser en dynamique la répartition spatiale des rayonnements émis sur la base des caractéristiques techniques des émetteurs. Le niveau électromagnétique ambiant est simulé en tenant compte de l’environnement bâti et du relief. Tous les types d’émetteurs peuvent être pris en compte : GSM, UMTS, TETRA, radio, TV, radars, etc. Les niveaux ainsi calculés peuvent alors être comparés à des référentiels.

Il s’agit donc à la fois d’un outil de gestion de la pollution électromagnétique et de dialogue entre le public, l’administration et les exploitants d’antennes.